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    FAQ

    Dernière mise à jour : Janvier 2023

     

    Voici les questions les plus fréquentes que l'on me pose. Les réponses pouvant évoluer ou changer au fil du temps, cette page sera régulièrement mise à jour. Bonne lecture !

     

    1. D'où vient le nom Paontaure ?

    Mon prénom (Mayouri, c'est d'origine Lao) est aussi celui d'un paon dans un conte laotien. J'ai rajouté le préfixe "-taure" parce que le Taureau est mon signe astrologique. Ce qui donne Paontaure (prononcez "Pantore"), un pseudonyme que j'utilisais pour les premières fois il y a plus de 15 ans, pour signer anonymement des dessins qui ne me plaisaient pas, ou que je considérais comme imparfaits. A force de vouloir toujours chercher à m'améliorer, j'ai fini par ne plus signer de mon vrai nom. Et Paontaure est finalement devenue ma signature officielle sur tous mes tableaux.

    2. Que signifie ton logo/monogramme ?

    C'est l'assemblage de toutes les lettres de mon prénom qui se chevauchent les unes sur les autres, avec le symbole du Taureau. Ce monogramme apparaît parfois sur mes œuvres, surtout celles qui sont trop petites pour contenir la signature "Paontaure" au complet... Ce qui vient contredire le premier point : si, dans un sens, il m'arrive encore de signer de mon vrai nom.

    3. Comment as-tu appris à dessiner et à peindre ?

    Je dessine depuis que je tiens un crayon. Entre 4-6 ans, je faisais des dessins de mon âge, sans particularité exceptionnelle, mais ma famille me répétait sans arrêt que j'avais « le coup de crayon » et j'y croyais naïvement. Et je pense que cette confiance a beaucoup contribué à me faire progresser. J'étais beaucoup plus sûre de moi à 4 ans que je ne le suis après 30 ans !

    Puis j'ai découvert les bases de l'aquarelle lors d'un cours de peinture de ma commune lorsque j'avais 12 ans. Même si l'ambiance générale était très sympa, je n'y suis pas restée longtemps. En vérité, je n'ai eu l'occasion durant ces cours que de dessiner un chat en pastel et un arbre à l'aquarelle... Mais ça m'a quand même permis de toucher à la peinture pour la première fois.

    Je considère que j'ai fait mon apprentissage de la peinture seule. À l'époque, internet était très différent, et il n'existait pas autant de tuto d'art qu'on en trouve aujourd'hui alors j'ai beaucoup testé de mon côté mais sans résultats satisfaisants. Puis est sorti le livre « Peindre le monde des fées à l'aquarelle » qui longtemps été ma bible et qui m'a appris à utiliser convenablement l'aquarelle. J'y ai aussi découvert des artistes incroyables (notamment Stephanie Pun Mun Law ou Linda Ravenscroft...)

    4. As-tu fait des études d'art ? Suivi des cours de dessin ?

    Oui et non. J'ai fait des études dans la mode et la haute couture entre 2006 et 2012, jusqu'à l'optention d'un diplôme de modéliste-toiliste. Je considère les métiers de la mode comme des métiers d'art et j'ai eu la chance de suivre des cours de stylisme, de dessin technique et d'art du costume qui m'ont apportée pas mal de notions dans les proportions et la morphologie.

    Mais j'ai essentiellement appris à dessiner et à peindre en autodidacte.

    5. Qui sont tes artistes favoris ? Quels sont ceux qui t'ont influencée ?

    J'ai commencé sérieusement à apprendre le dessin en essayant de dessiner Sailor Moon et d'autres personnages des œuvres de Naoko Takeuchi dont j'étais extrêmement fan. Mon enfance a aussi été très marqué par les BDs de Joann Sfar (Sardine de l'espace, Petit Vampire, etc...), ainsi que les œuvres graphiques de Yoshitaka Amano que je voyais sur les jaquettes ou bande annonce de jeux vidéos de mes aînés (notamment les Final Fantasy que je découvrirai très vite par la suite).


    Mais c'est sans conteste les œuvres d'Olivier Ledroit (Requiem), les aquarelles de Stephanie Pui-Mun Law (Shadowscapes) et celles d'Alan Lee (illustrateur de l'univers de Tolkien) que je découvris adolescente, qui ont eu une très grande influence sur mon style, ma gestion des couleurs et ma manière de dessiner.


    Tous ces artistes sus-cités sont encore aujourd'hui mes héros et m'inspirent continuellement. On ajoute à cette liste les maîtres Cynthia Sheppard (directrice artistique de MTG), Scott Fischer (Wizards of the coast), et Seb Mckinnon (touche-à-tout et illustrateur récurent pour MTG), pour ne citer qu'eux...


    Et parmi les artistes qui ne sont plus de ce monde : John Bauer, Arthur Rackham, Gustave Doré, Arnold Böcklin, John Waterhouse, Jean Delville et tant d'autres...

    6. Quels outils utilises-tu ? Qu'est ce qu'il y a dans ta trousse ? Quelles sont tes marques préférées ?

    Mon fourre-tout d'art (il s'agit d'un organisateur de sac basique, trouvable en maroquinerie). Ses multiples poches sont pratiques pour y glisser toutes sortes d'accessoires et matériels d'art. J'y range également mon plumier en metal et mes boites d'aquarelle.

     

    Crayons graphites : J'utilise les crayons mécaniques Alvin Draft Matic, qui sont parfaits en tout point : prise en main, répartition du point, grip en acier, confort de la mine, design adorable, robustesse, etc... Malheureusement, ils sont très difficiles à trouver en France.

    En complément, j'utilise un critérium 2mm HB qu'on trouve dans toutes les marques de dessin. Le mien est un Koh-I-Noor en acier.

    Encrage : Je ne suis pas fan des stylos jetables et je ne jure que par les Rotring Isograph qui sont beaucoup plus durables et qui offrent des traçages des plus réguliers. Mon Isograph préféré est la pointe .35 que je trouve très polyvalente. Les encres (noirs et indélébiles) sont rechargeables et si on en prend soin, les pointes peuvent durer jusqu'à 4 ans en moyenne pour un usage quotidien.

    Son seul point négatif est son corps en plastique assez fragile (je les rafistole régulièrement).

    J'aime aussi beaucoup la plume Carbon Ink, bien que l'encre ne soit pas à 100% waterproof, mais cela permet aussi de tâter un style différent. Je l'utilise occasionnellement. Son look retro est un petit plus <3

    Pinceaux : Pour l'aquarelle, j'utilise des pinceaux petit-gris depuis toujours et ai du mal à m'en passer. Pour des raisons éthiques, j'ai décidé de ne pas en racheter à l'avenir et de les remplacer par des pinceaux synthétiques lorsqu'ils seront HS. Néanmoins, ils sont très robustes (deux d'entre eux ont plus de 17 ans !) et semblent encore près à affronter plusieurs décennies.

    Pour l'acrylique et la peinture à l'huile, je n'utilise que des pinceaux synthétiques. Malheureusement, ils sont beaucoup plus difficiles à entretenir (les peintures épaisses durcissent les poils) et ne durent pas dans le temps... Cependant, je jette très rarement un pinceau s'il lui reste assez de poils : s'il est trop usagé, je le mets à tremper dans du White Spirit, et il devient idéal pour les crafternoons entre sœurcières et les travaux manuels moins délicats.

    Peinture : Pour l'aquarelle, la gamme Horadam chez Schmincke est ma préférée d'entre toutes. J'apprécie aussi les aquarelles chez Winsor and Newton, ainsi que celles de la marque Sennelier. Pour n'importe quelle marque, j'utilise toujours des aquarelles de qualité extra-fine. Elles sont plus agréables à utiliser, ne laissent jamais de résidu sur le papier, et offrent des couleurs plus lumineuses.

    Pour l'acrylique, j'apprécie la belle opacité des acryliques chez Pébéo, de chez Liquitex, ou encore de la marque Amsterdam.

    Pour la peinture à l'huile, je ne connais que la qualité extra-fine chez Rembrandt, pour le moment...

    Lumières : J'utilise des stylos gel blancs pour les rehaussages en complément d'une encre acrylique blanche Sennelier à travailler au pinceau, qui offre plus d'opacité.

    Correcteurs : Pour ne pas abîmer mon papier à force de gommages répétés, j'utilise une gomme mie de pain chez Faber-Castel. Elles deviennent un peu trop collantes avec le temps et je dois les changer régulièrement mais je n'ai pas trouvé de meilleur substitut jusqu'à présent.

    Et pour les peintures j'utilise tout simplement un cutter qui me sert de couteau à retouche.

    Protection : Depuis plusieurs années, j'ai pris l'habitude de porter des gants lorsque je peins et dessine.

    Je porte des gants d'art qui recouvrent les auriculaire et les annulaires afin de protéger mon support, qu'il s'agisse de papier, de toile sur châssis ou de la tablette graphique. Il est important d'en porter quelque soit la technique picturale utilisée. Avec l'aquarelle par exemple, votre main peu déposer du gras ou de l'acide sur le papier et provoquer des auréoles de peinture. Avec l'acrylique, la moiteur de votre main peut agripper la peinture. Sur tablette, le contact tactile de la paume peut être aussi dérangeant.

    J'aime tester des marques différentes mais à vrai dire, mes préférés restent les moins chers en noirs basiques, achetés sur Amazon.

    Occasionnellement, je mets des mitaines de contention en première couche. Non seulement à cause de soucis de santé (articulations défaillantes et syndrome de Raynaud dues à ma maladie) mais aussi pour prévenir des problèmes d’arthrose. Mais même lorsqu'on n'a pas de soucis de santé, je trouve qu'il est primordial de prendre soin de ses mains quand on est artiste.

    Je porte des gants aux deux mains même si je suis gauchère car la main droite peut aussi être utile ou à l'inverse, provoquer de terribles accidents quand elle n'est pas gantée (en voulant prendre appuis, par exemple).

    Bref, les gants sont indispensables et je le recommande pour tous les artistes/artisans. Protégez vos mains et vos œuvres !

    7. Comment scannes-tu tes oeuvres ?

    Je n'utilise jamais de scanner car je réalise parfois des peintures plus grandes que le format A4, ou alors des peintures impossibles à inserrer dans un scanner (les peintures sur toile à châssis ou sur bois, par exemple).

    Je digitalise toutes mes oeuvres grace à un appareil photo hybride. Actuellement, j'utilise un Panasonic Lumix GX9, qui offre une bonne capture des couleurs naturelles.

    Avant de les prendre en photo, je prépare mes travaux étirés et bien à plat sur des planches, et non exposés à une lumière directe pour éviter tout reflet.

    Je corrige ensuite le recadrage, la perspective et les couleurs sur Paintshop Pro ou Photoshop.

    8. J'ai adopté une de tes oeuvres sur papier. Comment l'encadrer correctement ?

    Tout d'abord, merci d'avoir choisi une de mes créations !

    Comme la majorité des artiste, je ne travaille pas forcément sur des formats standards, rentrant dans les cadres qu'on trouve habituellement en grande surfaces ou dans les magasins de déco : les dimensions de mon papier vont dépendre du sujet que je peins. La taille de mes dessins varie constamment. Et je les encadre de moins en moins car beaucoup des acquéreurs préfèrent le faire à leur goût et en accord avec leur logis, ce qui est tout à fait normal. Mais il est vrai que l'encadrement peut s'avérer être un véritable casse-tête pour certains.

    Voici donc trois différentes manières de faire encadrer vos originaux sans avoir à découper les œuvres (ô malheur !) :

    Méthode 1 : faire appel à un artisan encadreur, et faire encadrer sur-mesure votre pièce originale : les choix de moulures, de couleurs et d'autres fioritures y sont vastes. C'est la méthode la plus simple, aux résultats les plus originaux ou élégants. Mais c'est aussi la méthode la plus coûteuse. Certains encadrements peuvent être aussi chers (voir même plus) que le sujet.

     

     

    Méthode 2 : trouver un cadre qui vous convient, et qui soit un peu plus grand que le sujet. Il faut que l'intérieur du cadre (là ou vous mettez le sujet) dépasse de 2 cm tout autour du sujet. Ensuite faire appel à un encadreur afin qu'il crée un passe-partout adapté au cadre :

     

    Un passe-partout sur-mesure doit coûter à peu près 8 ou 10€ pour les petites aquarelles comme ci-dessus (15x12cm), le prix gonfle selon la taille du sujet. C'est une méthode très satisfaisante et peu onéreuse.

     

    Méthode 3 : comme pour la deuxième méthode, il vous faut trouver un cadre à votre convenance qui soit un peu plus grand que le sujet à encadrer. Centrez l'œuvre originale à l'intérieur du cadre et rajouter une feuille de papier (blanche, de couleurs ou à motif selon vos goûts) derrière l'œuvre afin de combler l'espace entre le sujet et le cadre. On peut trouver des feuilles de papier fantasie vraiment sympa dans les magasins de scrapbooking ou de loisirs créatifs à tout petit prix.

    9. Pourquoi les prints des fanarts passés ne sont pas remis en stock dans ta boutique en ligne ? Vas-tu ré-imprimer les prints A5 sur Dark Souls/The Witcher/LOTR/autres fanarts hors-stock ?

    Les fanarts en format A5 finition mat sont imprimés en extérieur jusqu'à 100 unités maximums.

    Les fanarts sont réalisés pour le plaisir d'alimenter les fanbases des univers que j'adore, et ils me permettent également d'avoir un peu plus de visibilité sur le net. Les plus populaires sont vendus sur ma boutique Etsy en impression limité pour les (100 premiers) fans.

    Je suis navrée si vous avez loupé le coche mais ce principe ne changera pas car ça irait à l'encontre de l'édition limité, et le but n'est pas d'en faire mon fond de business (en plus, passé un certain seuil, je ne pense même pas que ça soit légal. La vente des fanarts restent légal jusqu'à une certaine limite !)

    10. Pourquoi tu n'exposes plus dans les salons et festivals ?

    C'est vrai que depuis 2019, je ne participe plus (professionnellement) à des festivals, ni aux marchés.

    Même si j'ai eu le plaisir d'y rencontrer de formidables collègues et lecteur.ices, il faut savoir que ce genre d’événement demande beaucoup d'énergie, d'organisation et de budget (préparations de l'exposition, conditionnements, moyen de déplacements, moyen d'hébergement, nombre de repas, location du stand ou tarif d'exposition, autres frais...)

    En outre, la vie de festivaliers n'est pas très compatible avec notre vie de famille. Je parle au pluriel car j'y inclus mon mari qui devient alors mon assistant/manager lors de ces événements. Et nous nous voyons mal laisser notre petit pour des déplacements de plusieurs jours.

    Désormais, je ne me limite plus qu'à ma boutique en ligne ainsi qu'aux petites galeries locales et cela me convient très bien pour le moment.

     

     

     

    Illustratrice indépendante dans l'univers du fantastique / Freelance fantasy illustrator

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